|
N’étant
pas très fortuné dans les années 1983/4 et le modèle
Ibanez Benson
ayant été dévalisé avant de disparaître de la circulation, j’ai acheté
ce modèle pour sa sonorité chaude et son rapport qualité/prix de 4.840
Frs de l’époque. La seconde raison étant qu’un français du renom de
Jacobacci inspirait une fierté de plus, et
cette fierté m’accompagne depuis plus de 20ans, sans que l’instrument
ait pris une ride, alors que moi si ! Cette guitare porte le prénom de
ma fille Marie-Line qui a 25 ans aujourd’hui, une raison de plus pour ne
jamais m’en séparer. C’est mon ami et maître Laurent
Jollet sur la photo, qui lui-même est ami de
notre illustre Pierre Cullaz, qui fait une
délicate aubade à notre félin attentif et réceptif à cet instrument.
|